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La lignée des mangeurs d’hommes

L’anthropophagie (du grec ἄνθρωπος / anthrôpos, « être humain », et φαγία / phagía qui se rapporte à l’action de

«consommer ») est un sujet qui a fasciné les sociétés humaines depuis l’aube de temps.

De la mythologie la plus classique (Polyphème le cyclope dévorant les compagnons d’Ulysse), à des épisodes historiques dramatiques (siège de Sancerre pendant les guerres de religions, guerres de Vendée, radeau de la méduse), notre monde occidental à clairement définit le cannibalisme comme étant LA ligne de démarcation entre la civilisation et la barbarie.

 

La Papouasie Nouvelle-Guinée est une région du monde célèbre pour compter le plus grand nombre d’actes de cannibalisme du monde contemporain.

 

En 1968 deux missionnaires (l’Australien Stan Dole et l’Américain Phil Masters) furent découpés en morceaux puis consommés.

 

Durant Noel 1974 quatre familles hollandaises furent tuées et dévorées par des indigènes des montagnes Jayawijaya (vraisemblablement Kombai ou Korowai). L’anecdote la plus célèbre est sans doute celle de l’héritier du gouverneur de New York, Michael Rockefeller, qui a disparu aux confins de la Nouvelle-Guinée en 1961.

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